Lifestyle : Le bonheur Quèsaco ?

[dropcap type="default"]J[/dropcap]’ai décidé de faire mes débuts sur  le webzine de Mademoiselle Ergo en m’attaquant à un sujet important dans le développement de l’être humain et qui, je crois, nous tient tous à cœur : Le bonheur !

Le bonheur ?! Une grande question! La quête de chaque être humain. Nous sommes tous à sa recherche, nous le voulons, nous l’implorons, nous le prions… Chacun sa façon d’essayer de le trouver.

Et si, en fin de compte, il était là devant nous mais qu’une sorte de voile nous empêché de le voir ? Si en fin de compte le bonheur était à l’intérieur de nous ? Cela changerait beaucoup de chose n’est-ce pas ? Cela voudrait dire que nous n’avons plus à le chercher, cela voudrait dire que nous ne sommes plus dépendants des éléments extérieures à nous pour faire notre bonheur (illusoire). Cela voudrait simplement dire que nous sommes acteur de notre bonheur ! N’est-ce pas merveilleux ?

Cela veut dire que nous pouvons agir, influer, et surtout décider d’être heureux. Trop longtemps les médias, la société nous on fait croire que nous avions besoin de télés, d’ordinateurs, d’un nouveau jean pour être heureux mais ce bonheur n’est pas permanent, il va vous remplir, vous combler quelques instants puis tout redeviendra comme avant.

Attention, je ne dis pas qu’un jean de temps en temps ne fait pas plaisir, je dis simplement que ce n’est pas la même chose et que souvent nous confondons plaisir et bonheur ! Le plaisir est ce sentiment agréable de contentement que crée chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir (définition Larousse). On comprend donc que le plaisir est éphémère tandis ce que le bonheur est un état de satisfaction complète « caractérisé par sa stabilité et sa durabilité ». Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n'est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus.

 

Pour moi le bonheur est comme un jardin, c’est quelque chose qui s’entretient avec assiduité. Je m’explique : une foi que nous avons fait le choix d’aller chercher le bonheur à l’intérieur de nous, il faut bécher le terrain, c’est-à-dire retirer toutes les mauvaises herbes et les parasites. En clair, on doit faire la paix avec soi-même et avec ses vieux démons (ce qui peut prendre du temps). Ensuite on commence à semer de nouvelles graines (un peu magiques), ce sont les graines de la confiance en soi, de l’amour de soi et de la bienveillance. Enfin on entretient son jardin en l’arrosant et en enlevant les mauvaises herbes qui seraient tentées de revenir (on prend soin de nos graines et quand nos vieux démons viennent frapper à la porte, on les renvoie gentiment d’où ils viennent !).

A partir de là, si vous prenez soin de votre jardin comme ci-dessus, le bonheur arrive tout seul ! Et oui tout est dans le mot : « bonheur », « bonheur » vient du latin « bona hora » qui veut dire la bonne heure. Pour faire simple, ce qui vient à temps ou à point nommé ! La vie nous donne tout ce dont nous avons besoin, quand nous en avons besoin, il faut seulement apprendre à regarder. C’est pourquoi le jardin est important, c’est l’étape pour accéder au bonheur.

A partir du moment où nous devenons réceptif, où notre corps et notre âme commence à s’éveiller, la vie se met à couler en nous comme un immense torrent, et tout, absolument tout devient clair, c’est comme un puzzle qui se met en place. Tout est là au moment opportun, il n’y a plus de bonnes ou mauvaises choses. Pour moi le bonheur c’est ça, être en connivence (union) total avec la vie et donc vivre ce qu’elle me réserve.

Il faut toujours essayé de garder cet alignement parfait où nous devenons la vie et où la vie devient nous !

 

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